Pour apprendre à grandir dans un monde cruel, pas de meilleurs guides que les deux jeunes héros de Ma mère qui chantait sur un phare. Dans ce récit initiatique tracé avec pudeur par Gilles Granouillet et mis en scène par François Rancillac, une mère qui élève seule ses deux fils noie son chagrin dans l’alcool. Livrés à eux-mêmes, les adolescents vont tenter de lui venir en aide alors qu’elle s’est refugiée sur un phare, où elle chante nue face à la mer. Épreuves, révélations, désillusions… leurs aventures se révèleront aussi rocambolesques que poignantes.
Blandine Dauvilaire
À noter : “Le Jour de la fabrication des yeux, dè