Adrien Missika recrée physiquement et métaphoriquement ce réseau discontinu d’îles caractéristique de l’archipel : Cinq vidéos en plan fixe, sorte de portraits en plain-pied et grandeur nature de plantes quasi immobiles, sont rétro-projetées sur des stèles de verre brisé. Ces écrans de projection translucides sont fixés au sol par des amas de résine noire imitant ainsi des fragments de lave gisant non plus au milieu de la mer mais à même le béton de la salle d’exposition.
